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La pêche à la palangre

La pêche à la palangre

Vous avez entendu parler de la pêche à palangre mais vous ne savez pas du tout de quoi il s’agit ? Voilà quelques explications qui vous permettront d’en savoir plus sur cette technique de pêche.

Comment est constituée une palangre ?

C’est tout d’abord une longue ligne principale. Celle-ci comporte à intervalles réguliers des émerillons auxquels sont rattachés des lignes plus courtes, les avançons. Les avançons sont terminés par des hameçons. En fonction des poissons visés, le pêcheur place sur les hameçons des appâts appropriés. Une palangre peut comporter jusqu’à plusieurs milliers d’hameçons.

Quels sont les types de palangres ?

La pêche à la palangre se pratique de différentes manières :

  • La technique la plus pratiquée est la palangre de fond. La palangre est alors lestée par des poids et repose en partie au fond de la zone de pêche Les poissons recherchés sont alors le bar, le congre, le merlan ...
  • La palangre de surface ou palangre flottante. Équipée de flotteurs, la palangre est alors posée proche de la surface. C’est la technique utilisée pour pêcher le thon ou l’espadon.
  • En Espagne, les pêcheurs qui visent le merlu utilisent une version hybride, avec poids et flotteurs. La palangre travaille alors dans une certaine hauteur d’eau.

Est-ce une méthode de pêche durable ?

Oui pour plusieurs raisons :

  • C’est une technique de pêche sélective notamment en palangre de fond ;
  • Le poisson pêché est de très bonne qualit é;
  • Les poissons pêchés sont la plupart du temps ramenés à bord vivants ;
  • Cette pêche n’a pas d’incidence néfaste sur l’environnement marin.

Toutefois, il peut lui être reproché :

  • Des prises accidentelles de tortues ou d’oiseaux marins selon les zones de pêche ;
  • De ne pas permettre de pêcher toutes les espèces de poissons ;
  • D’être moins sélective lorsqu’elle est pratiquée en palangre de surface ;
  • De ne plus permettre de rentabiliser le coût des appâts lorsque le nombre des captures baisse.

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